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Nicolas Sarkozy

22 octobre 2006

Débat PS/présidentielles: ya qu’à faut qu’on Les

Débat PS/présidentielles: ya qu’à faut qu’on

 

Les candidats à la candidature socialiste pour l’élection présidentielle se sont livrés à un concours de banalités et de ya qu’à faut qu’on, dans un style convenu et auto satisfait. Ces trois héritiers de la mitterrandie et des années Jospin sont apparus plus que jamais enfermés dans les contraintes et les contradictions historiques et dogmatiques de la gauche française. Après des minutes de monologues, on est toujours à la recherche de leurs idées de réforme. Le refus d’un vrai débat a certainement empêché une véritable confrontation d’idées et laisse finalement le spectateur sur sa faim.

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22 octobre 2006

Nicolas Sarkozy défend une fois de plus



Nicolas Sarkozy défend une fois de plus "l'immigration choisie"

Université UMP Sarkozy et Johny Hallyday 921/10/06 : Nicolas Sarkozy défend une fois de plus "l'immigration choisie"
Le ministre de l'Intérieur a une nouvelle défendu le concept d'immigration choisie samedi. Devant 2.000 personnes réunies à la Sorbonne pour la XVe édition de la Cité de la Réussite, Nicolas Sarkozy a également dénoncé la "repentance perpetuelle" qui voudrait imposer à la France des associations d'immigrés et de descendants d'immigrés.
Une déclaration faite en réponse à un jeune noir, membre d'une association ayant défendu les expulsés de Cachan et les sans-papiers. Et le ministre de citer en exemple des pays comme les Etats-Unis, le Canada, l'Australie ou la Grande-Bretagne. Ces pays choisissent les immigrés en fonction des possibilités de leur économie", a-t-il déclaré

21 octobre 2006

Terres à vivre, terres d’avenir.

En clôturant les travaux de la dix-huitième convention de l’UMP consacrée à l’agriculture et au monde rural, Nicolas Sarkozy a affirmé sa conviction absolue qu’un grand espoir existe pour notre agriculture et qu’un grand avenir est possible pour notre monde rural. Le projet de l’UMP ira au-devant de ses espérances a-t-il assuré pour donner des perspectives à nos campagnes, à l’agriculture et à la pêche.

" je souhaiterais que nous puissions inventer une autre relation, un autre dialogue entre la ruralité et l’environnement, entre l’agriculture et l’écologie. "Nicolas Sarkozy

"Notre conviction absolue, la mienne, celle des parlementaires qui ont préparé cette Convention, c’est qu’il y a un grand espoir pour notre agriculture et un grand avenir pour notre monde rural. Notre projet, c’est une détermination totale pour aller au devant de ces espérances."Nicolas sarkozy

"Quand on a travaillé dur dans nos campagnes, on a parfois un sentiment d'injustice"Nicolas Sarkozy

21 octobre 2006

Sarkozy : "je préfère un procès plutôt qu'un drame"

Le ministre de l'Intérieur a justifié par la sécurité le retrait des badges de certains bagagistes musulmans de Roissy.

Nicolas Sarkozy a donné le chiffre de 43 bagagistes qui se sont vus interdire l'accès aux pistes de décollage et d'atterrissage depuis janvier.

Nicolas Sarkozy, à la "Cité de la réussite" à la Sorbonne, à Paris, le 21 octobre 2006

"Je ne peux pas accepter que des gens qui ont une pratique radicale travaillent sur une plateforme aéroportuaire. C'est ma responsabilité." Nicolas Sarkozy a justifié samedi, devant environ 2.000 personnes réunies à la "Cité de la réussite" à la Sorbonne, à Paris, par la sécurité la décision à Roissy de priver certains bagagistes musulmans de leur badge d'accès aux pistes de décollage et d'atterrissage. Son discours fait suite à l'enquête ouverte jeudi après la plainte de la CFDT aux noms de ces bagagistes arguant du fait qu'il s'agissait d'une décision "discriminatoire" vis-à-vis de leur religion. Quatre bagagistes ont également saisi jeudi le tribunal administratif de Pontoise.

Ne niant pas une certaine sévérité, le ministre de l'Intérieur a toutefois précisé qu'il "n'y avait là aucun délit de sale gueule. Il y avait des éléments précis qui nous amenaient à leur interdire l'entrée sur la surface d'un aéroport (...) C'est un problème de sécurité dont j'ai la responsabilité". Or "Je préfère qu'on ait le risque d'un contentieux devant un tribunal, parce qu'on a été trop sévère pour une habilitation, plutôt qu'on se retrouve avec un drame parce qu'on n'a pas été assez sévère. Tous les pays font cela". Et Nicolas Sarkozy de les y pousser : "Si ces gens pensent qu'on a été trop loin et pensent qu'ils sont victimes de discriminations, qu'ils fassent valoir leurs droits devant les tribunaux". Mais, en attendant, "j'estime que notre devoir, c'est de veiller à ce que (les gens qui ont accès aux pistes de décollage et d'atterrissage) n'aient ni de près ni de loin de liens avec des organisations radicales".

Au total, 43 personnes se sont vues retirer leur habilitation depuis janvier, selon le ministre de l'Intérieur. La CFDT parle de 70 personnes. Le sous-préfet chargé de la zone aéroportuaire de Roissy, Jacques Lebrot, les a privé de badge après enquête de l'Unité centrale de lutte antiterroriste (Uclat) qui a conclu que ces personnes présentaient un risque "de vulnérabilité ou de dangerosité" pour la zone. Plusieurs auraient séjourné dans "des camps d'entraînement" au Pakistan. Nicolas Sarkozy a rappelé qu'il avait fait fermer "sept lieux de culte islamistes clandestins et légaux" à Roissy et Orly et qu'il avait fait expulser, depuis le début de l'année, "18 imams qui tenaient des propos (...) parfaitement incompatibles avec les valeurs de la République".

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Nicolas Sarkozy
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